Bien souvent, c’est l’environnement inadapté (milieu urbain par exemple), le danger que représente le bois mort (risque de chute), l’intérêt esthétique, les maladies ou encore la limitation de l’ombrage et de la quantité de feuilles mortes à ramasser, qui nous poussent à couper nos « poumons verts ».
Pourtant, en anticipant ces questions au moment de la plantation ou de la conception de l’ensemble de son jardin, et en procédant à des tailles régulières, on peut éviter un geste trop radical, et au contraire l’intégrer en douceur dans l’évolution de l’arbre afin de préserver ce dernier au maximum. C’est également le moyen de limiter les risques de casse et d’accidents lors des tempêtes de saison.